La secte Soka Gakkaï au Parlement
En France, la Soka Gakkaï est citée par le Sénat en tête de sa liste noire des sectes, avec l'Eglise de Scientologie et les Témoins de Jéhovah.
A Singapour, le 15 décembre 2006, le Dr Fatimah Lateef, membre du Parlement, lors de la conférence annuelle du People's Action Party au pouvoir, en introduction à son discours, cite le Président de la Soka Gakkaï International, Ikeda !
Voilà deux mondes qui n'ont pas les mêmes valeurs. La Sokka Gakkaï International (SGI), organisation bouddhiste est née au Japon et fut antimilitariste pendant la guerre 39-45. Elle s'inspire des pensées d'un moine bouddhiste japonais du 13° siècle. Mieux que le Paradis, elle promet le bohneur sur terre... et c'est la plus riche des sectes, avec 8 millions d'adeptes, dont 2 millions hors du Japon. La SGI est active à Singapour, au point donc d'inspirer une parlementaire.
Ikeda, le Président de la Soka Gakkaï International, cité par le Dr Lateff, ne dit rien que des bonnes paroles : La clé d'une vie bien remplie , libre de tout regret, c'est de nous consacrer à une cause ou un but...
Ikeda a bien raison : c'est comme cela que l'on devient riche !
Les adeptes chantent matin et soir, sur tous les tons monocordes les mêmes paroles, un chapelet à la main et scandent les étapes d'un coup de cloche. Un vrai exercice de massage des neurones qui permet de repartir d'un bon pied, qui se pratique à la maison, devant un tabernacle très particulier, ouvert pendant le chant, refermé ensuite (photo).